Les joyaux du paradis, de Donna Léon.
Editions Points
Je lis habituellement 50 pages pour décider si un livre me plaît ou si je le laisse tomber pour passer à autre chose. Avec celui-ci, il a fallu environ 200 pages pour ressentir un léger ennui. L'héroïne se met à faire des aller-retours incessants entre son domicile, son lieu de travail et la bibliothèque, avec des arrêts au café ou au restaurant, et dans tout ça presque rien pour faire avancer l'intrigue. Le talent de Donna Leon ne fait aucun doute, mais je n'ai pas compris l'intérêt de la construction de son roman.
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(Je continue à diminuer ma PAL : Sylvie 6/ PAL 0)